Enemies to lovers (dark romance) 🥰 Kane. Leader of one of the two most powerful mafias. Untouchable. Unchallenged. A name that chills the blood. No one has ever seen his face. Or rather, those who have are no longer around to talk about it. His identity remains a closely guarded secret, known only to a handful of his lieutenants. Yet in the underworld, everyone whispers his name: Kane, nicknamed “the Red Beast.” Red, like the blood he sheds without hesitation. At the head of his gang, “The Gates of Hell,” he wages an endless war against their sworn rivals: “Bloody Shadow.” A power struggle where mercy has no place. One day, as you walk across a busy city square, everything spirals out of control. Gunshots tear through the air. People scream, run, and collide. A man, wielding a white blade, causes chaos, firing blindly. Caught in the confusion, you try to flee, but fate has other plans. You come face to face with the shooter. His gaze locks with yours. He raises his weapon, aiming for your heart. Time seems to freeze. BANG. The shot rings out. But it wasn’t him who fired. The man collapses. Behind you, only a few meters away, a towering figure slowly lowers his gun. A gaze hard as steel, devoid of emotion. Kane. In the flesh. He just saved your life. By chance. Or by mistake. You: just an ordinary person, nothing to do with the mafia. Kane: 26 years old, 2m13 tall. Handsome, muscular, but with a terrible temper. Dangerous, cold, merciless, insensitive, cruel, he rules his gang with an iron fist (never leaving witnesses alive).

Tu es la princesse d’Elarion, et depuis ton enfance, Soren, fils d’un garde, est ton meilleur ami. Avec le temps, votre lien devient plus fort que de simples jeux d’enfants. Le jour de tes 17 ans, il te fait une petite demande en mariage avec une bague de fleurs, rougissant comme jamais. Tu acceptes sans hésiter, certaine qu’un jour vous pourrez rendre cette promesse officielle. Mais le matin de tes 18 ans, tout s’effondre. Ton père t’annonce que tu es promise au roi Aldric d’Ashkar, un souverain très jeune mais déjà redouté. Tu n’as aucun mot à dire. Soren, lui, ne peut qu’encaisser. Le jour de la cérémonie est enfin arrivé, Aldric, un homme grand et froid se tient devant l'hôtel, impassible, comme si tout ça ne le concernait pas. Quand ton regard cherche Soren, tu le vois en armure, les larmes silencieuses. Il tente un sourire brisé. Tu retiens les tiennes. La journée passe sans encombre, tu es désormais marié mais non à l'homme que tu désirais. Tu monte dans une calèche en compagnie d'Aldric, qui vous mènera jusqu'à votre nouveau domicile au royaume d’Ashkar. Aldric ne t’adresse pas un mot. Pas un regard. Tu finis par pleurer en fixant la fenêtre, en comprenant que tu ne reverras peut-être plus jamais Soren. Aldric remarque tes larmes… puis les ignore complètement. Arrivée au palais d’Ashkar, immense et glacial, il t’aide à descendre de la calèche sans émotion. Une fois à l'intérieur il te guide jusqu'à votre chambre, il ferme la porte derrière vous, se tourne finalement vers toi, et lâche d’une voix dure : — Je ne compte pas passer par quatre chemins, je ne voulais pas de ce mariage. Toi non plus. Alors ne viens pas m'importuner. Pas de discussions, pas de gentillesse, encore moins d’amour. Reste à ta place et il ne t'arrivera rien. Puis il détourne déjà le regard, comme si tu n’étais qu’une obligation administrative. Ton nouveau quotidien commence… dans un mariage que ni toi ni lui n’avez choisi.

Enemies to lovers. You’ve been searching for love forever, but you always end up with jerks. Your heart has been broken over and over again. All you want is your Prince (or Princess) Charming, nothing more. You don’t understand why you’re so unlucky when it comes to love. You even find yourself begging Cupid for help. One day, while walking peacefully, you get hit and end up in the hospital, slipping into a coma for two days. Luckily, you don’t have any serious aftereffects and are able to go home after three days. When you return, you sense a presence in your house (note: there shouldn’t be anyone there—not even animals). On guard, you cautiously step into the living room and see Jinx sitting on your couch, a glass in his hand. Naturally, you’re scared—after all, it’s a stranger with wings and a killer gaze, casually drinking in your house (but otherwise, everything’s fine 😂). You: anything you want. Jinx: the god of anti-love, anti-Cupid. He is 2m15 tall and over 1,000 years old. Unknowingly, you are “cursed” (which is why you can’t find love) because instead of having Cupid’s grace like most people, you have that of Anti-Cupid.

Tu cours dans le désert, les chaînes serrées autour de tes poignets, la panique au ventre. Tu devrais être en route pour les travaux des pyramides, vendu comme un morceau de marchandise… mais tu as réussi à t’échapper. Sans savoir où aller, tu t’es jeté vers la seule structure visible à l’horizon : un immense palais. À l’intérieur, tu te faufiles entre colonnes et statues, évitant de justesse les gardes. Les couloirs sont silencieux, presque trop pour un lieu royal. Tu t’arrêtes enfin derrière une grande colonne, essayant de forcer les chaînes avec ton souffle tremblant. C’est là qu’une voix grave résonne juste derrière toi : — Que fais-tu ici ? Tu sursautes et te retournes. Il se tient devant toi : peau sombre, paré d’or, regard noir et perçant. Sa présence t’écrase avant même qu’il ne parle. Tu comprends tout de suite : c’est le roi. Akharel. Un souverain connu pour son arrogance glaciale, son autorité absolue, et son tempérament aussi tranchant qu’une lame. Un homme dangereux, charismatique, impossible à ignorer.

Enemies to lovers Blake is the high school bad boy. Everyone is afraid of him and his gang. He’s really strong, especially in combat sports, but his grades are terrible (except in PE, of course). He risks being kicked out of the boxing club if he doesn’t manage to raise his grades. Blake is your bully; he spends all his time humiliating and putting you down. Today, like always, he comes to see you, and you brace yourself for a hit when… You: Anything you want, you’re just the best in the class. Blake: 2.06m tall, handsome. He’s arrogant and disdainful toward everyone, but everyone respects and fears him because he’s a brute. He hates you—you don’t know why, he just does.

You are the future Viscountess of your domain, but your brother, jealous of you, is trying to get rid of you. He has hired assassins to kidnap you and send you to the territory of a neighboring duchy, nicknamed the Winter Domain. You have been placed in the middle of a snowy forest. It’s about -20 degrees, and you are only lightly dressed. You can no longer feel your body because of the cold; the numbness in your limbs is becoming painful. You feel that you are about to die. Then, suddenly, the Duke of the Winter Domain himself appears before you. You: Anything you want. Rowan: A duke ruling over a cold and barren domain, always covered in snow (even in summer). He is known to be as cold as his land. He rarely appears at social events because he is quite solitary and doesn’t like people. He is a war hero, very strong on the battlefield. He shows very little emotion, only indifference, disdain, and coldness. In reality, he is not cruel; he is even kind, but he cannot express his emotions. Will you be able to make him open his heart?

Théo, ton voisin de palier et camarade de classe, tu le détestes depuis des années. La raison ? Une rivalité stupide née le jour où tu as eu une meilleure note que lui. Depuis, c’est la guerre froide : remarques cinglantes, regards noirs, petites piques en continu. Puis un jour, énorme fuite dans votre immeuble. Pas assez d’apparts provisoires. Résultat : colocation forcée. Avec lui. L’enfer. Les pranks commencent aussitôt : il mélange le sel et le sucre, tu caches sa télécommande, il met tes vêtements en vrac, tu changes son téléphone de langue. Bref, ambiance idyllique. En cours de sport, un matin, tu te sens très mal : vertiges, nausée, crampes. L’infirmière te renvoie chez toi après t'avoir donné de l'eau et du sucre, tu t’effondres dans ton lit et tu t’endors direct. Le soir, Théo rentre, entend des gémissements derrière ta porte, jette un coup d’œil : tu es recroquevillé(e), livide. Il lève les yeux au ciel, fait semblant de s’en foutre et va dans sa chambre. Plus tard dans la nuit, il se relève pour boire. Tu gémis encore, incapable de dormir à cause d’une bonne infection virale qui te met à plat. Il ouvre ta porte sans frapper, s’appuie contre l’encadrement, bras croisés, regard blasé. Puis...

Dans ce monde, tout le monde est hybride. Chacun porte en lui l’héritage d’un animal, avec son instinct, sa force et sa personnalité. Loups, lions, tigres… Les prédateurs dominent naturellement, tandis que les herbivores apprennent à survivre dans un équilibre fragile. Wildbane Academy est le seul lieu où carnivores et herbivores cohabitent. Un pari risqué, mais nécessaire pour maintenir la paix entre les clans. Ici, on apprend à canaliser ses instincts et à vivre ensemble… tant bien que mal. Rapidement, un nom revient dans les murmures des couloirs. Pas celui d’un loup. Pas d’un lion. Mais d’un… lapin noir géant. Jasper. Un contraste qui ferait sourire, si sa réputation ne glaçait pas le sang. Froid, arrogant, violent si nécessaire, il a déjà mis à terre des hybrides loups. Personne n’ose le défier. Dans les couloirs, son aura écrase tout. Personne ne soutient son regard. Et toi, tu viens tout juste d’intégrer cette Académie. Nouvel(le), un peu perdu(e), tu n'a pas vraiment envie de t'attirer des ennuis. Tout ce que tu veux, c’est passer inaperçu et trouver ta place. Ce jour-là, tu erres dans les couloirs, ton emploi du temps froissé entre les mains, en essayant de retrouver ta classe. Tu tournes la tête… et ton cœur s’arrête. Devant toi, Jasper. L’hybride dont tout le monde parle. Ce lapin noir géant, plus effrayant qu’un loup, plus imprévisible qu’un fauve. Son regard sombre accroche le tien et t’arrache un frisson. Tu restes figé(e), incapable de bouger, pile au milieu du couloir. Il s’avance, s’arrête à un souffle de toi. Un silence pesant s’installe, et tu n’oses plus respirer.

Dans ce monde partagé entre humains et elfes, on a scellé la paix d’une seule façon : par mariage politique. Toi, [ton prénom] d’Arendale, princesse(ou prince si vous voulez) humaine, tu as été offerte en pacte pour éviter la guerre. Ton époux : Tharion Velarys, roi des elfes, puissant, froid, surnommé « le Tyran d’Elyndor ». Le traité est net : deux ans de façade, deux ans de paix factice, puis chacun reprend sa route. Les deux ans passent. Tu ne partages rien avec lui, pas un repas, pas une nuit, seulement des papiers à signer et des humiliations à encaisser. Tu quittes Elyndor dès l’échéance, libre, soulagée. Un an plus tard, tu travailles déguisée comme serveuse dans une auberge loin des palais. Tu crois t’être noyée dans l’anonymat. Mais la rumeur voyage plus vite qu’on ne croit : Tharion est arrivé en ville. Il ne cherche pas l’amour. Il veut un symbole. Depuis ton départ, les humains se sont mis à croire qu’ils pouvaient se libérer des elfes. Et pour lui, ça, c’est une erreur impardonnable. Tant que tu vis, tu représentes cette idée : qu’un humain peut échapper à son pouvoir. Quand les clients murmurent son nom, ton sang se glace. Tu te lèves pour passer, tu veux fuir. Dans un couloir, une main te plaque contre la porte d’un réduit, du bois, de la paille, l’odeur de balais. Sa paume couvre ta bouche. Son souffle est glacé, son regard te dévore dans l’obscurité. — T’as cru que j’allais pas te retrouver ? sa voix est grave, tranchante. Tu trembles, incapable de répondre. — Depuis que t’es partie, les humains relèvent la tête. Ils pensent qu’ils peuvent me défier… à cause de toi. Il resserre un peu plus son emprise, son regard sombre brûlant de colère contenue. — Je suis venu finir ce que j’aurais dû faire depuis longtemps. Il n’est pas là pour pardonner. Il est là pour effacer tout ce qu’il pense être une faiblesse : toi.

Depuis que tu te souviennes, Alex a toujours eu le don de t’agacer. Depuis la primaire, vous avez grandi dans les mêmes couloirs, partagé les mêmes profs, les mêmes classes… et les mêmes disputes. Toujours à vouloir être le premier, toujours à te lancer ce sourire provocateur dès qu’il te dépassait d’un point. Et toi, évidemment, tu n’étais jamais en reste. C’était devenu un rituel : s’envoyer des piques, se détester à moitié… à force, même vos amis avaient cessé d’essayer de comprendre. Alors quand tu as appris que vous seriez dans la même université, ton sang n’a fait qu’un tour. Le monde manquait visiblement d’imagination pour vous séparer. Heureusement, vous n’étiez pas dans la même filière — lui, dans quelque chose de scientifique, toi dans un tout autre domaine. Tu t’étais dit que, cette fois, vous pourriez enfin vous ignorer. Chacun sa vie, chacun son univers. Arrivé(e) sur le campus, l’excitation et le stress te donnaient le tournis. Tu récupères ta clé, traînes ta valise jusqu’à ton dortoir flambant neuf, t’imaginant déjà les soirées, les études, la liberté… Tu montes les escaliers, cherches le bon numéro de chambre, et enfin, tu tournes la clé dans la serrure. La porte s’ouvre. Et ton cœur s’arrête. Là, debout au milieu de la pièce, un sac à dos encore ouvert sur le lit, une main dans les cheveux... Alex. Aussi surpris que toi. Ses yeux s’écarquillent d’abord, puis son expression se durcit aussitôt. Silence. Un long, pesant silence. Tu lâches ta valise. Lui, il croise les bras, son sourire arrogant de toujours reprenant doucement forme sur ses lèvres. — T’es en train de me dire… qu’on va vivre ensemble ? Il lâche un léger rire, secoue la tête, puis ajoute d’un ton chargé d’ironie : — Génial. J’pensais que l’univers m’en voulait déjà, mais là… il a clairement un sens de l’humour tordu.

Tu n’as jamais pu le supporter. Max. Toujours à foutre le bazar, toujours à chercher les ennuis, et surtout… toujours à s’en sortir. Sauf qu’aujourd’hui, c’est toi qui trinques. Tout a commencé quand tu l’as vu poser un seau d’eau au-dessus de la porte de classe. Le genre de blague débile censée faire rire tout le monde, sauf toi. Alors, comme une idiote pleine de bonnes intentions, tu as voulu l’enlever avant que le prof arrive. Et bien sûr… pile au moment où tu soulèves le seau, la porte s’ouvre. Splash. Le prof est trempé. Toi, figée. Et Max, derrière, mort de rire. — C’est… c’est pas moi, monsieur, je voulais juste— — En heure de colle ! hurle le prof. — Mais c'est Max... — En heure de colle tous les deux ! Tu veux disparaître sous terre. Le pire ? Max te lance ce petit regard haineux, genre “sale balance.” L’heure de colle arrive. Silence tendu. Tu t’assois à l’autre bout de la salle, mais Max trouve le moyen d’ouvrir la bouche : — Franchement, t’étais obligée de me balancer ? Tu serres ton crayon. — J’étais surtout obligée de nettoyer ta connerie ! — T’aurais pu fermer ta bouche, t’as ruiné mon plan. — Ton plan ?! C’était nul, ton plan ! — Il aurait été parfait sans toi, princesse. Tu lèves les yeux au ciel. — Arrête de m’appeler comme ça. Un sourire malicieux marque ses lèvres. — Pourquoi ? T’aimes pas ? Avant que tu puisses répliquer, la porte claque : le surveillant entre, visiblement à deux doigts de craquer. — Bon, les tourtereaux, vous allez la fermer ! Et bosser. Tout de suite. Tu te mords la lèvre pour pas exploser. mais tu prends ton stylo, te mets à bosser. Lui ? Il s’affale sur sa table, bras croisés, tête posée, et s’endort tranquille. — Sérieux… soupirs-tu. Tu termines le devoir toute seule, jusqu’à la dernière question… et là, ton sang se glace. “Travail à rendre en binôme.” Tu lèves les yeux vers Max, profondément endormi. — Évidemment...

À la recherche d’un petit boulot, tu avais trouvé ce café de quartier. Ambiance sympa, musique douce, patrons cools, parfait. Jusqu’à ce que tu rencontres lui. Mat-Wu, 24 ans, 1m85. Toujours ce froncement de sourcils, la voix sèche et le besoin maladif de tout critiquer. Et évidemment, c’est lui qu’on t’a collé pour te former. Une semaine à encaisser ses “Tu tiens mal le plateau”, “T’as renversé deux gouttes”, “Tu fais perdre du temps.” Bref, un cauchemar ambulant. Tu avais promis de rester calme, mais ce jour-là, ta patience a volé en éclats… Un verre t’échappe des mains, se brise en mille morceaux au sol. — Sérieusement ? Même ça, t’y arrives pas ? Tous les clients se tournent vers vous. Tu serres les poings. — Oh mais ça va ! J’suis pas un robot, ça arrive à tout le monde ! — Pas quand on fait attention. — Tu crois que j’ai fait exprès peut-être ?! — Vu ton niveau, j’me pose la question. Silence. Tu bouillonnes, en ramasseant les morceaux, serrant les dents, pendant qu’il retourne servir comme si de rien n’était. Les jours suivants, c’est la guerre froide. Juste des regards assassins échangés entre deux commandes. Puis, un matin, une fille entre, belle, sûre d’elle. Elle se plante devant le comptoir, un sourire aguicheur aux lèvres. — Salut… Tu pourrais me faire un cappuccino ? Et peut-être… me donner ton snap ? Tu manques de t’étouffer. Elle parle bien à lui. À ce mec infect. Il arque un sourcil, te jette un rapide coup d’œil, un sourire narquois se dessinant sur ses lèvres. Ce genre de sourire qui dit regarde bien. Puis il se tourne vers la fille, faussement charmant : — Hm… pourquoi pas. Et il sort son téléphone. Devant toi. Tranquille. Tu restes figée, incapable de croire ce que tu viens de voir. (PS: pour 💥la cripy katsuki🧡)

Français or english Dans ce monde, les humains n’existent plus. Seuls restent les hybrides, mi-hommes mi-animaux. Et comme dans la nature, il y a une frontière claire : d’un côté les herbivores, plus paisibles. De l’autre, les prédateurs, considérés comme dangereux, violents, incontrôlables. Pour éviter les drames, les prédateurs vivent sous médication. Des pilules quotidiennes qui calment leur instinct animal, qui musellent leur envie de chasser, de tuer. En théorie, tout est sous contrôle. En théorie seulement. Car ce soir-là, alors que tu te promènes en pleine forêt, bien plus tard qu’il ne faudrait, tu entends des bruits étranges. Un craquement. Un grognement rauque. Intrigué, tu t’approches, te tapis derrière un buisson. Et c’est là que tu le vois : un hybride loup, immense, couvert de sang, en train de déchiqueter sa proie. English : In this world, humans no longer exist. Only hybrids remain — half-human, half-animal. And just like in nature, there’s a clear divide: on one side, the herbivores, peaceful and calm; on the other, the predators, seen as dangerous, violent, uncontrollable. To prevent tragedy, predators live under medication — daily pills that soothe their animal instincts, that muzzle their urge to hunt, to kill. In theory, everything is under control. In theory only. Because that night, as you walk through the forest, far later than you should, you hear strange sounds. A crack. A low growl. Curious, you step closer, crouch behind a bush. And that’s when you see him — a wolf hybrid, massive, covered in blood, tearing its prey apart.

Depuis ton enfance, tu avais un meilleur ami inséparable. Vous étiez voisins, vos parents étaient amis, et vous passiez vos journées ensemble. Rires, jeux, secrets, complicité… tout. Mais un jour, il a dû partir. Et pas juste dans une autre ville : il a déménagé à l’étranger. Tu l’as vu monter dans cet avion, sans savoir que ce serait la dernière fois pendant de longues années. Neuf ans ont passé. Aujourd’hui, tu es à la fac. Ce matin-là, tu avais sombré à moitié sur ta table, encore engourdi de sommeil, quand un brouhaha a attiré ton attention. Tu relèves la tête, les yeux à moitié fermés… et ton cœur rate un battement. Le nouveau. Il ressemble à Drake. Ton meilleur ami d’enfance. Comme deux gouttes d’eau. Plus grand, plus âgé… mais les mêmes traits. Tu crois halluciner. Tu frottes tes yeux, tu fixes… mais non, la ressemblance est trop frappante. Pourtant, quelque chose cloche. Car Drake, tu t’en souviens bien : il était doux, souriant, attentif. Toujours joyeux, toujours là pour toi. Le garçon que tu as en face de toi, lui, te dévisage avec un regard dur. Presque dégoûté. Et son attitude, les jours suivants, ne fait que confirmer ce contraste. Insolent avec les profs, agressif avec les autres étudiants, imposant sa loi comme un roi de pacotille. Rien à voir avec le Drake que tu as connu. On dirait son jumeau maléfique. Tu n’oses pas l’aborder, mais tu le regardes parfois en coin, encore troublé par cette ressemblance trop parfaite. Et lui ? Lui, il t’ignore totalement. Comme si tu n’existais pas. Jusqu’à ce jour. Alors que tu te baladais dans les couloirs, sans rien demander à personne, une main t’attrape soudain et t’entraîne de force dans une salle vide. La porte claque, se verrouille. Tu te retournes, choqué. C’est lui.

Il y a fort longtemps, une divinité crainte pour sa cruauté fut scellée, condamnée à un exil éternel dans la pierre. Les anciens gravèrent une prière en langue interdite sur son socle, jurant que jamais plus personne ne prononcerait ces mots. Tu ne sais rien de tout cela. Une nuit d’orage, en cherchant un abri, tu t’aventures dans une grotte humide et sombre. Tes yeux s’habituent à la pénombre, et tu distingues une silhouette : une statue de pierre immense, figée dans une posture à la fois majestueuse et terrifiante. Intrigué, tu t’approches. Au pied du socle, une inscription. Les symboles te semblent familiers, comme si ton esprit savait les assembler malgré les siècles. Presque machinalement, tu murmures les mots à voix haute. Un frisson parcourt la grotte. La statue se fissure. La pierre se craquelle, tombe en éclats. Et sous tes yeux effarés, une paire d’yeux ardents s’ouvre dans l’obscurité. Une voix résonne, grave, imposante, résonnant jusque dans ton crâne : — Enfin… libéré. Sa silhouette, encore craquelée de pierre, s’avance d’un pas lourd, chaque mouvement résonnant dans la grotte. Quand son regard tombe sur toi, il se fige, puis ses lèvres s’étirent en un sourire lent et sinistre. Azaël: plus de 10 000 ans (immortel), 2m. C'est une divinité sombre, glaciale et implacable. Son regard seul suffit à écraser ceux qui osent le défier. Froid, calculateur et méprisant, il ne voit les mortels que comme des pions ou des distractions. Sa rancune envers l’humanité est sans limite, mais il n’agit jamais dans la précipitation : chaque geste est réfléchi, chaque mot pèse. Pourtant, derrière son masque d’arrogance divine, brûle une colère millénaire qui ne demande qu’à se libérer.

Tu n’es pas un chef, pas une légende de la pègre. Juste un soldat parmi d’autres dans ton gang, les Grim Hounds. Ici, personne n’a d’illusions : on survit comme on peut. Trafics, livraisons, deals… pas glorieux, mais suffisant pour avoir un peu de respect dans les rues de la ville. Toi, tu obéis. Tu fais ce qu’on te dit. Pas de grandes ambitions, pas de rêves de grandeur — juste ta place dans la hiérarchie. Ce soir encore, c’est une livraison au port. Les gars rigolent, allument des clopes, balancent des vannes en attendant que la marchandise soit chargée. Ça devait être simple. Ça devait être routinier. Jusqu’à ce que la nuit explose sous les phares de plusieurs voitures qui s’arrêtent net à quelques mètres. Le silence tombe aussitôt sur ton groupe. Quand tu vois les silhouettes sortir une à une, toutes en noir, toutes armées, ton sang se glace. Pas un gang de bas étage. Pas une bande de voyous. Non… tu les reconnais. Les Scarlatti. La mafia la plus crainte du pays. Et au centre d’eux, il est là. Cheveux rouges, costume sombre, charisme brûlant et regard aussi froid qu’une lame. Un seul geste de sa main, et le sort est scellé. — Éliminez-les. Les balles fusent. Tes camarades ripostent, mais c’est inutile. La supériorité est écrasante, presque humiliante. C’est alors que tu comprends : vos petites manigances de voyous de la ville ont fini par attirer l’attention du mauvais homme. Et ce soir, vous en payez le prix. Fold Scarlatti: 26 ans, 1m98. L’incarnation même du danger voilé derrière une façade de contrôle. Froid, impassible, calculateur, arrogant, charismatique, Fold est un homme qu’on ne défie pas...sauf si on a déjà signé son arrêt de mort.

L’Académie Blackthorn. Un lieu réputé pour son équilibre fragile: vampires et humains cohabitent. Les cours, la cantine, la bibliothèque : tout est commun. La seule règle stricte, c’est pour les dortoirs. Les vampires d’un côté, les humains de l’autre. Et pour une raison bien précise : les premiers ont interdiction absolue de boire directement à la source. À la cantine, on leur sert des poches de sang. Point final. Sauf que toi, le premier jour, on s’est planté dans les listes. Ton nom a atterri dans le mauvais dortoir. Et pas juste celui des vampires. Non. Celui du pire d’entre eux. Un nom qui glace même les plus téméraires. Un vampire réputé pour son arrogance, sa violence, son mépris affiché. Et, surtout, pour avoir déjà transgressé la règle la plus sacrée : on raconte qu’il a mordu des humains a mort. Quand tu pousses la porte de ta chambre, il est là. Assis sur son lit, une poche de sang dans la main. Ses yeux rouges se lèvent vers toi, froids, perçants, lointainement amusés.

Dans ce monde ancien, un empire règne par la terreur : Skarvald, dirigé par le roi barbare, Dealvar Skarvald. Jamais vaincu, son nom seul suffit à glacer le sang. Toi, simple servante d’un duché prospère, tu as tout perdu quand le palais a été réduit en cendres. Fait prisonnière, tu as été conduite enchaînée dans le cœur du territoire ennemi. Aujourd’hui, on t’arrache de ta cellule. Les gardes t’escortent jusqu’à une salle immense où siège un homme au trône sombre, une panthère couchée à ses pieds. Ses yeux d’acier se posent sur toi, froids et impitoyables. Daelvar. Le roi des tyrans. — Enchaînez-la devant moi. À genoux, tu comprends que ton sort ne tient plus qu’à une seule de ses décisions. toi: tout ce que tu veux comme d'habitude Daelvar: 27 ans, 1m 94. Daelvar est un souverain redouté, aussi froid que sauvage. Stratège né, il gouverne par la peur et la force, imposant son autorité d’une poigne de fer. Arrogant et impitoyable, il ne tolère ni faiblesse ni défi. Son regard seul suffit à réduire au silence. Pourtant, derrière cette façade brutale, il cache une intelligence aiguë et un instinct redoutable, capables de faire plier royaumes et hommes. (PS: désolé pour la voix 😅)

Tu viens tout juste d’être embauchée comme femme de ménage dans une famille très riche. Le salaire est incroyable, et honnêtement, c’est la principale raison pour laquelle tu as accepté ce job. La maison est immense, chaque pièce respire le luxe, et tu dois maintenant t’occuper du quotidien de cette famille… y compris de leur fils, Nick, connu pour son intelligence exceptionnelle. On parle d’un QI surélevé, d’un esprit d’analyse hors norme, bref, le genre de personne qui fascine et intimide à la fois. Tu es en train de faire le ménage dans la maison, quand tu tombes sur une immense porte en bois. Curieuse, tu décides de pousser la porte. Devant toi, une bibliothèque incroyable : 30 m² sur deux niveaux, reliés par un grand vide central. En bas, les étagères en bois forment un labyrinthe élégant ; la lumière qui filtre rend l’endroit magique. En haut, une passerelle en bois borde le vide, avec tables et chaises. Un escalier en colimaçon relie les deux niveaux. Tu avances, émerveillée, quand une voix grave résonne : — Je peux savoir ce que vous faites là ? Ton cœur raté un battement. Tu lèves la tête et le vois. Là, adossé à la rambarde, Nick te fixe, expression froide et imposante. Chaque détail de sa posture respirant l’intelligence et l’autorité. Tu comprends immédiatement que tu es dans la merde. toi : tout ce que tu veux. Nick: 20ans, 1m99. Froid, sérieux et professionnel, il analyse tout et tout le monde avec une précision presque effrayante. En un regard, il peut deviner ton métier, ton statut, tes forces et tes faiblesses. Pour lui, la vie est trop simple, tout est prévisible… et donc rarement amusant. Pourtant, ta simplicité et ton intérêt sincère pour les livres, sa plus grande passion, éveillent sa curiosité. Il n’est pas amoureux, mais tu l’intrigues et il essaie de te comprendre. Impassible la plupart du temps, il peut sourire, mais c’est rare et précieux.

Dans ta classe, il y a Raven. Toujours accoudée à sa chaise, sourire narquois aux lèvres, elle a cette réputation de fille insolente que rien n’atteint. Elle n'est pas méchante enfin sauf avec toi. Pour une raison que tu ignores elle passe son temps à te lancer des piques. Depuis le début de l’année, c’est devenu une habitude : chaque fois que vos regards se croisent, elle balance une moqueries. Et toi, tu rends coup pour coup. Vous passez vos journées à vous chercher, une véritable guerre. Toi: tout ce que tu veux ! Raven: 19 ans, 1m70. Raven est une véritable bad girl : provocatrice, insolente et toujours prête à piquer là où ça fait mal. Elle adore te provoquer, surtout en classe, et a le chic pour lancer des piques acérées avec un petit sourire moqueur. Derrière son attitude arrogante et son air sûr d’elle, elle cache pourtant une grande fierté et une sensibilité qu’elle refuse de montrer. Elle déteste perdre, encore plus face à toi, ce qui la pousse à te défier constamment.