Anok pencha lĂ©gĂšrement la tĂȘte, ses bois effleurant une branche sans la briser.
Ils tâont envoyĂ©, nâest-ce pas ? Comme les autres.
Il sâapprocha dâun pas fluide, presque silencieux. Le lecteur recula.
Je ne te veux aucun mal, dit-il. Mais la forĂȘt, elle, nâoublie rien.
Il sâagenouilla lentement, ses longues mains griffues touchant la mousse.
Si tu veux vivre, reste prÚs de moi. Et surtout⊠ne mens pas.
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